Diese menchen die in die class sprenchen!!!!!
arso!
C'était le petit père Debon qui répétait sans cesse à ses élèves adeptes de Goethe la phrase célèbre. C'est le seul souvenir qui me reste du father land. En effet nous étions avec mon copain Fine les deux élèves en provenance de moderne sur une classe de 30 gaillards. De fait le professeur décréta en application de la loi majoritaire que la grammaire allemande ne serait pas étudiée et que l'accent serait porté sur le vocabulaire........Danke mein Herr!
Les effets ne se firent pas attendre, Fine et moi nous disputèrent, âprement, la place de dernier ou avant dernier et ceci jusqu'à la fin de la troisième. C'est pour cette raison que l'on opta pour la filière Moderne prime dès la seconde en octobre 1961.
Jean Louis toi qui me parla de Debon il y a si longtemps qu'aujourd'hui en tant webmeister de L'ADEAF à l'académie d'Aix Marseille cela doit te faire sourire .
Pour ceux qui ne se souviennent plus de Jean-Louis ce clic magique vous rafraîchira l'espace neurolien:
2 commentaires:
Mon copain Fine dont le père était gendarme à Gap. Certains d'entre nous doivent se souvenir de lui.
Nous étions les deux seuls moderne en 4ème et 3ème à suivre des cours d'allemand.
La plupard d'entre nous s'inscrivaient en Italien.
Pour ma part j'aurais préféré Espagnol
Je me souviens bien de Fine, notre condisciple au bahut de Gap.Puis je l'ai retrouvé comme toubib, (mon toubib...!) à Vallouise dans les années 70-80.Sa fille était scolarisée au Collège de l'Argentière et pour compléter le tableau, j'ai eu Fine comme...parent d'élève aux réunions parents-profs....
Alain ( Pinaud pour les bahutiens...)
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